Quelle histoire racontes-tu à ton audience ?

J’ai trouvé cette idée chez Seth Godin :

« Ce que font les leaders :
ils donnent aux gens des histoires
qu’ils peuvent raconter eux-mêmes.
Des histoires sur le futur et le changement. »

Tout le monde rêve d’un meilleur futur.

De résoudre des problèmes.

De changer pour le meilleur.

La clé pour réussir que ce soit avec
tes équipes ou tes clients.

C’est de donner des histoires
qui montrent que c’est possible.

Et des solutions pour résoudre
les problèmes qui vont arriver en chemin.

Les entreprises qui réussissent proposent
une histoire qui fait rêver.

Puis elles créent des produits pour
que cette histoire puisse se vivre.

Quelle est l’histoire que tu peux raconter ?

Et quelles sont les solutions que tu apportes
pour que cette histoire devienne réalité ?

À demain,

Philippe

Les nouveaux analphabètes (en fais-tu partie ?)

À la base un analphabète c’est quelqu’un
qui ne sait pas lire et écrire.

Mais dans un monde qui change,
d’autres critères deviennent tout autant limitant.

Le premier critère c’est la technologie.

Il y a peu de chances que ça te concerne
aujourd’hui si tu lis cet article.

Mais la technologie devient un facteur
de plus en plus discriminant.

Et ça devrait s’accélérer encore
avec la dématérialisation
et l’automatisation.

Certaines études estiment que 85%
des métiers de 2030 n’existent pas encore !

C’est sans doute exagéré.

Mais c’est une réalité qu’il va falloir
prendre en compte.

La révolution technologique n’est qu’à ses débuts.

Beaucoup pensent la maitriser mais
ils pourraient se retrouver aussi perdus
que leurs grands parents dans
les années à venir.

Ça va faire mal.

Le deuxième critère c’est l’anglais.

Et il y a beaucoup plus de chances
que ça te concerne dès aujourd’hui.

Dans un monde mondialisé.
L’anglais s’impose.

Pour voyager,
pour échanger avec les étrangers.

Pour s’impliquer dans de nombreux
secteurs économiques.

La France a résisté pendant longtemps.

Mais il faut bien se rendre à l’évidence.

Même si le français va durer.
De nombreux mots anglais vont rentrer
dans l’usage courant.

Et de moins en moins de choses
vont être traduites.
Surtout dans les secteurs économiques
et technologiques.

Maîtriser l’anglais c’est avoir un champ
d’action plus large.

Et avoir plusieurs années d’avance.

Regarde le temps qu’il faut pour
qu’un bon livre en anglais
soit traduit en français.

Et imagine l’avance que ça te donnerait
si tu accédais à ces connaissances
ou ces savoir-faire avant les autres.

La bonne nouvelle c’est qu’il n’a
jamais été aussi facile de s’y mettre.

Même si on était mauvais en anglais à l’école.
(Je sais de quoi je parle 🙂 )

Si c’est quelque chose qui t’intéresse,
j’ai un ami qui est spécialiste du domaine
et qui organise une conférence gratuite
demain soir.

J’ai moi même bénéficié de son coaching
pour intervenir en anglais dans
une conférence internationale.

Il est vraiment très fort.

Tu peux voir ce qu’il propose ici :

https://bit.ly/2RUwvis

À demain,

Philippe

Pour avoir des idées, oublie la veille, concentre-toi sur les contenus longs.

Le danger des créateurs de contenus
c’est de faire de la veille sur les réseaux sociaux.

On y passe un temps fou pour au final servir
la même soupe que tout le monde.

Si tu cherches des nouvelles idées,
mieux vaut te couper complètement.

Et revenir à des contenus longs.

Livres, conférences, vidéos youtube
qui durent plus de 30 minutes.

Ces contenus sont plus profonds.

Plus originaux.

Ils te permettent d’aborder ton audience
et ton marché avec des approches
souvent méconnues.

Et des idées qui paraitront nouvelles.

Même si parfois elles viennent d’un vieux
bouquin qui date de 50 ans ou plus.

À demain,

Philippe

Pourquoi te limiter à peindre une seule toile, quand tu peux en peindre plusieurs ?

Notre culture aime mettre les gens dans des cases.

Nous voyons les diplômes où les expériences
comme des voies de spécialisation.

C’est enfermant.

On pourrait les voir comme des outils
qui seront utiles pour aborder
de nouveaux domaines.

De la même façon qu’un peintre ne fait pas
qu’une seule toile.

Rien ne t’oblige à te limiter à un seul domaine.

Et comme le peintre peut travailler
sur plusieurs toiles en même temps ou à la suite.

Tu peux vivre plusieurs vies
en même temps ou à la suite.

Quand on regarde la vie des grands leaders.

On se rend compte qu’ils ont souvent suivi leur intuition.
Pour explorer de nouveaux domaines.
Même si ça n’avait pas forcément de lien
avec ce qu’il faisait sur le moment.

Parfois ça leur donne un bol d’air qui les rend meilleurs
dans le premier domaine.

D’autre fois les deux domaines
se nourrissent mutuellement.

Et souvent cela amène des synthèses que
personne n’avait exploré avant.

Si une nouvelle idée ou un nouveau projet
bouillonne en toi.

Pourquoi ne pas suivre ton intuition ?

À demain,

Philippe

Pourquoi tu n’as pas besoin d’être un expert pour vivre de tes idées

Quand on réfléchit à vivre de ses idées,
la peur numéro 1, c’est de ne pas être légitime.
Ou de n’avoir rien à dire.

Parce qu’on n’est pas un expert.

Mais la réalité, c’est que ce n’est pas un problème.
Et que c’est même souvent une qualité.

Ce n’est pas un problème, parce que dans tous les sujets
90% des gens ont des questions de débutant.

Du coup, tu n’as pas besoin d’être dans le top 1%.
Il te suffit d’être dans les 5 ou 10%
de ceux qui en connaissent le plus.

Même si tu es un complet débutant,
tu peux justement prendre la position de l’étudiant.
Raconter tes expériences.
Inspirer d’autres à se lancer.
Et vivre de tes idées en partageant tes découvertes.

C’est souvent une qualité, parce que les experts
ne sont plus à la mode.

Ils sont vus comme pompeux, inaccessibles
et trop déconnectés de la réalité.

Les gens recherchent de la proximité
avec quelqu’un qui leur ressemble
et qui est passé par les mêmes problèmes.

Si tu es passionné par ta thématique et que tu sais
te mettre au niveau de ton audience.

Tu es sans doute bien plus qualifié qu’un expert
pour aider ceux qui te suivent à progresser.

La posture que tu dois viser c’est celle de l’ami.

Tu as sans doute un ami qui est fort en bricolage
ou en cuisine.

Il connaît toutes les techniques d’experts.

Il a tout testé.

Et si tu as besoin d’aide c’est lui que tu iras voir.

Parce qu’il sera à ton niveau.

Et que grâce à lui tu prendras un raccourci
au lieu de chercher toi même.

C’est cet ami que tu dois être pour ton audience.

Cherche à comprendre ses problèmes.

Adresse les d’une manière accessible.

Nourris toi du contenu des experts de ta thématique.

Et vulgarise avec passion pour ceux qui te suivent.

La clé c’est de digérer l’expertise des 1%
et de la redonner d’une façon accessible aux 90%.

À demain,

Philippe

La meilleure façon de se lancer dans l’entreprenariat (et comment je l’ai fait)

D’après une étude du figaro plus d’un français
sur trois souhaite créer une entreprise.

Si tu en fais partie, il y a une façon toute
simple de commencer.

C’est de gagner de l’argent en vendant tes idées.

Pas besoin de capital, de matière première
ou de fournisseurs.

Tu peux commencer tout seul chez toi.

Et travailler depuis n’importe où.

Tu peux démarrer à côté d’une autre activité.

Et grandir à ton rythme.

Avec ma femme on a testé ça il y a 8 ans.

J’étais passionné d’entreprenariat,
elle était passionnée d’écriture.

J’avais pas envie d’expliquer aux gens
comment gagner de l’argent
sans l’avoir déjà fait.

Du coup on est partis sur l’écriture.
Et on a lancé Devenir Écrivain.

Parce qu’un tiers des français veut
aussi écrire un livre.

C’était le tout début des blog professionnels.
Et on ne savait pas si ça allait marcher.

Les seuls qui gagnaient de l’argent en France
à ce moment là parlaient de comment gagner
de l’argent.

Mais on a eu envie de les croire.
On a suivi leurs conseils.

Et on s’est lancé en parallèle de nos métiers.

Je me suis occupé de la technique et du marketing.

Ma femme a fait les contenus.

3 ans plus tard on a sorti
un premier produit.
(Notre plus grand regret est
de ne pas l’avoir fait plus tôt).

C’était un ensemble de guides
numériques pour expliquer
comment écrire une nouvelle.

Puis un an après, on a lancé
une formation audio par semaine.

Et c’est comme ça qu’on a découvert
qu’on pouvait avoir un chiffre d’affaires
 entre 2000 et 5000 euros par mois
en travaillant 10 à 15 heures par semaine.

Sans parler de comment gagner de l’argent.

Avec un site qui au premier abord
n’a rien d’extraordinaire.

À mon sens tout ceux qui s’intéressent
à l’entreprenariat devraient commencer là.

1- Bâtir une communauté autour de leur passion,
de leur expertise ou de leur savoir faire.

2- Vendre leurs conseils.

Une fois qu’on sait faire ça.

On maîtrise l’essentiel de l’entreprenariat.

Et on peut toujours se lancer dans des projets plus
grands si on le souhaite.

À demain,

Philippe

La nouvelle révolution économique, en fais-tu partie ?

Cette note a une forme un peu différente.

C’est la reprise d’un article « plus compact »
que j’ai écris il y a 3 ans, pour un précédent projet. 

Les trois dernières années me confirment qu’on continue
à avancer dans cette direction.

Et je voulais te partager ça :

« Au 19ème siècle on a eu la révolution industrielle. Dans la deuxième moitié du 20ème siècle, l’explosion des services. Cette économie culmine et continue à se développer, grâce à internet qui permet la dématérialisation (Pense notamment à Amazon et au e-commerce). Mais il y a une nouvelle révolution qui a commencé et qui continue à prendre de l’ampleur.

C’est l’économie de la connaissance.

La complexité du monde fait qu’une personne ne peut plus détenir l’ensemble des informations sur un seul sujet. Dans le même temps, les gens ont de moins en moins de temps pour chercher les informations dont ils ont besoin. Et à cause de l’abondance d’informations, il devient difficile de savoir quelle information est pertinente ou non, si on n’est pas initié.

Les entreprises et les particuliers deviennent ainsi de plus en plus enclins à payer pour une information de qualité.

Chaque jour, des milliers de requêtes partent à la recherche d’informations. La demande en biens de consommation diminue, mais la demande d’information ne cesse d’augmenter car les gens ne cherchent plus simplement à posséder davantage mais à connaître davantage.

Dans le même temps, les informations ne sont plus cherchées simplement dans les milieux académiques ou auprès des experts.

L’information est cherchée sur internet à deux clics de portée de tout individu. Avant d’aller dans une médiathèque ou de téléphoner à un professeur d’université, les gens consultent Google ou ils demandent un conseil sur Facebook. Que ce soit pour des recettes de cuisine, pour préparer une dissertation de philosophie, pour connaître le trajet idéal pour les prochaines vacances ou pour savoir comment tricoter un pull.

En fait les sources historiques d’information telle que l’université sont même de plus en plus délaissées. Soit parce qu’elles gardent une posture élitiste qui rend leur savoir inaccessible auprès du grand public, soit parce qu’elles ne sont plus à la page dans certains domaines ou les choses évoluent en permanence.

Comment par exemple tenir un discours cohérent sur le marketing internet ou les technologies numériques lorsque ces domaines changent en profondeur tous les 6 mois et que les programmes universitaires ne se renouvellent au mieux que tous les 2 ans ?

La demande grandissante d’informations couplée à cette insuffisance des sources historiques crée une nouvelle économie portée par les technologies.

Une économie où la matière première n’est plus matérielle mais réside dans le cerveau humain, une économie où tous ceux qui ont l’information peuvent la dispenser quasiment gratuitement sur le web et la rendre accessible au monde entier en simplement quelques clics.

Dans cette économie, il n’est pas forcément nécessaire d’être un expert. En fait c’est même un positionnement déconseillé.

Ce que les gens cherchent ce sont des gens comme eux qui sont passés par les mêmes problèmes, qui ont trouvé les bonnes solutions et qui savent les expliquer dans leur langage.

Dans cette économie quasiment toute connaissance est monétisable.

Le marché étant mondial, même les connaissances de niches trouvent un marché suffisamment grand pour être profitable. Des centaines de niches ne sont pas encore exploitées. Des milliers de puits de valeur sont à combler et n’attendent que ton savoir. »

Je ne sais pas ce que tu en penses.

Mais si tu es passionné par un domaine,
ta passion peut devenir ton plus grand atout
dans cette nouvelle économie.

Et c’est sans doute la façon la plus simple de créer
une entreprise profitable.

Il suffit de commencer à partager tes connaissances.

À demain,

Philippe

5 questions à te poser pour fasciner tes clients

Tes clients arrivent avec des attentes.

À chaque fois tu as 3 options

Soit tu les déçois.

Soit tu es juste au niveau.

Soit tu va au delà des attentes
et tu obtiens l’effet Waouh !

Ton but c’est de fasciner tes clients.

Pour qu’ils reviennent
et qu’ils deviennent des ambassadeurs.

Pour ça, il faut que tu sois au niveau
de leurs attentes partout.

Et que sur certains points tu les dépasses.

Voici 5 questions que j’ai trouvé chez Michael Hyatt
pour y arriver :

1- Quel produit ou expérience veux-tu rendre fascinant ?

2- Comment se sentira ton client après ?

3- Quelles sont les attentes du client type ? 

4- A quoi ressemblerait l’expérience ratée ?

5- Qu’est-ce qui permet d’aller au delà des attentes ?

Prenons un exemple :

1-L’expérience :

La remise des clés d’un appartement
dans une résidence de vacances.

2-Le résultat :
 À la fin de l’expérience, le client aura le sentiment
qu’il va passer l’un des meilleurs séjours de vacances
de sa vie.

3-Les attentes :
Le client s’attend à être accueilli correctement
à l’accueil.

On lui remettra les clés et un dossier d’accueil
avec des infos.

Le code wifi sera dedans.

Il y aura aussi quelques brochures présentant des activités.

Il s’attend à trouver l’appartement propre et rangé.

Il sait qu’il devra ressortir faire les courses pour
acheter les produits de bases.

4-L’expérience décevante

La personne à l’accueil est désagréable et pas disponible.

Le client est obligé de demander toutes les infos,
notamment pour trouver l’emplacement de l’appartement.

Il doit revenir chercher le code wifi.

On ne l’informe sur aucune activité dans la région.

L’appartement n’est pas très propre,
il reste un verre dans l’évier
et il n’y a même pas le papier toilettes.

5-L’expérience Waouh

L’accueil est chaleureux.

De l’aide est proposée pour aider à décharger la voiture.

On donne rendez-vous au client pour un gouter de
bienvenue avec boissons fraiches, chaudes
et pâtisseries locales.

Le dossier d’accueil est organisé comme un guide
touristique adapté à la durée de séjour du client.

Différent parcours sont proposés selon profil
(romantique, famille, gastronomique, sportif…),
et pour chaque activité le client bénéficie de remises
partenaires.

Le client est accompagné jusqu’à l’appartement.
Les volets sont déjà ouverts.
Un mot de bienvenue est posé sur la table avec une
sélection de produits de base.

Un service de livraisons de courses est proposé.

Tu sens la différence ?

Cette méthode tu peux l’appliquer,
à tous les domaines de ton activité.

Et même dans ta vie perso.

À quoi ressemble une visite sur
ton site web ou ton compte Instagram ?

Ton service client est-il à la hauteur ?

Comment sera la prochaine sortie avec
tes enfants ?

Réfléchis avec ces 5 questions
et tu verras que parfois
il suffit de peu pour créer
de la fascination.

À demain,

Philippe

Pour satisfaire tes clients, concentre toi sur l’effet Waouh !

Pense à la dernière fois
où tu as eu envie de crier Waouh !

C’est ce genre d’expérience
que tu dois chercher
à créer chez ton audience.

Selon Michael Hyatt, voici dix critères
que l’on trouve dans les expériences Waouh !

 1-Surprise

(Ça dépasse tes attentes)

 2-Anticipation

(Anticiper l’expérience te déclenche
autant de joie que l’expérience elle même.
Pense à un enfant qui va chez Disney)

 3-Résonance

(Une expérience Waouh ! résonne
avec quelque chose de profond en toi.)

 4-Transcendance

(Ça te connecte à quelque chose de plus grand.
Comme quand tu regardes la voie lactée,
que tu vis un concert géant
ou une victoire sportive.)

5-Clarification

(Tu comprends quelque chose,
que tu n’avais jamais saisi avant)

6. Présence

(L’expérience Waouh ! te sors du temps.
Tu oublies le passé et le futur pour te
concentrer sur ce que tu vis)

7. Universalité

(La plupart des gens seraient touchés
par cette expérience comme devant
le Grand Canyon)

8. Contagion

(C’est le genre d’expérience que
tu partages et que tu recommandes.
Tu ne peux pas le garder pour toi.)

9. Longévité

(Tu ne t’en lasse pas et tu as envie
de recommencer)

10. Privilège

(Tu te sens privilégié d’avoir pu vivre
cette expérience)

La clé pour réussir c’est d’apprendre
à discerner si l’effet Waouh ! est présent
ou absent dans ce que tu proposes.

Puis de travailler pour le produire
ou l’entretenir.

Pense à ces différents critères et réfléchis
à comment les produire chez tes clients
et ton audience.

À demain,

Philippe

P.S. : Pour plus d’inspiration tu peux
me suivre sur Instagram @carnetdeleader
ou facebook.

Voici les 3 qualités des produits irrésistibles (c’est pour ça que l’iPhone a cartonné)


Au cœur de ta plateforme, il y a ton produit.

Au sens large du terme.

Ça peut donc être :

– un produit physique         
– un service
– toi-même
– une cause
– un message
– une méthode
– un livre
– une vision

Quoi que ce soit que tu essaies
de vendre ou de communiquer.

C’est-ce qui est au cœur de ta plateforme.

Et c’est le premier élément qui en fait le succès.

Tu peux avoir le meilleur cinéma du monde.
Avec le plus de confort,
la pointe de la technologie,
la meilleure équipe de com,
le meilleur pop corn,
le plus important ça reste le film que tu passes.

Les meilleurs plateformes fonctionnent
seulement parce qu’elles proposent
des produits irrésistibles.

C’est pour cela qu’elles fidélisent les gens.
Et qu’ils en parlent à leurs amis.

Les produits irrésistibles ont 3 qualités :

1. Tu les utilises toi même.

2. Ils résolvent les problèmes des gens
d’une façon inattendue.

3. Ils vont au delà des attentes.

En un mot, ils suscitent de la passion,
chez toi et chez les autres.

C’est ce qui fait que le premier iPhone s’est imposé.

Quand Steve Job a fait la conférence de presse
c’était clair que le premier fan de l’iPhone
c’était lui.

Et qu’il n’utiliserait pas un autre téléphone.

Il y croyait.

C’était aussi un produit de rupture.

Fini les smartphones à clavier
et au logiciel trop complexe.

C’était simple, facile et efficace.

Apple n’avait pas simplement amélioré ce qui existait.
Ils avaient trouvé une nouvelle façon de faire.

Les gens étaient surpris.

Et finalement, le produit allait au delà
des attentes.

C’était que la première version.

Très loin de ce que l’iPhone allait devenir.

Mais les gens applaudissaient déjà
à chaque fonctionnalité présentée.

Bien sûr, Apple avait une excellente plateforme.

Mais elle a fonctionné parce qu’elle
mettait en avant un produit irrésistible.

Et ce produit a permis à la plateforme d’exploser.

Quoi que ce soit que ta plateforme met en avant.

Il faut que tu sois le premier à aimer.

Il faut que ça résolve le problème de ton audience
d’une façon inattendue.

Il faut que ça aille au delà des attentes.

À demain,

Philippe

P.S. : Si tu n’as pas encore répondu à mon sondage,
merci de le faire ici. Ça prend deux minutes et
ça m’aidera à t’apporter davantage de valeur : https://goo.gl/forms/p712wO5wiOvsSEUV2