Banque personnelle : Je réponds à tes questions

Lundi est sorti mon atelier
« Comment créer ta propre banque
en moins d’une heure »,
dans lequel j’explique comment je place
mon argent à 6% en prêtant

à des entreprises.

J’ai reçu plusieurs questions auxquelles
je réponds dans ce mail.

Combien de temps ça prend pour
suivre ses placements ?
Doit-on tout gérer soit même ?

Moins d’une heure pour paramétrer
(créer un compte sur le site d’accès aux prêts,
fournir les justificatifs d’identité, etc.,
faire un dépôt initial
(à partir de 1 euro par virement
ou 50 euros par CB)

Ensuite quelques minutes par placement.
Quand une demande d’emprunt est disponible
je reçois une alerte par mail
ou via l’application smartphone.
Je me connecte au site,
je regarde les éléments clés du dossier
préparé par des pros de la finance
qui financent déjà 51%
je choisi le montant que je place
(entre 20 et 2000 euros)
je clique et c’est fini.

Chaque mois je suis notifié des remboursements
(capital et intérêts) que je reçois.

S’il y a des procédures de recouvrement à lancer,
je n’ai rien à faire.
Mon intermédiaire fait tout et sans frais.

(comme dans toutes les banques
c’est l’emprunteur qui paye les frais.)

La diversification garantie-t-elle
vraiment du risque ?

Oui, même s’il y a toujours un risque
comme dans toute activité économique.

J’utiliser la même stratégie
que les banques classiques :
Répartir mon capital
sur un grand nombre d’emprunteurs.
Étant donné que je peux prêter
à partir de 20 euros, c’est assez facile
Par exemple avec 500 euros,
je peux répartir sur 25 prêts.

Connaissant, ma rentabilité moyenne par prêt
et le taux défaut moyen sur les dernières années,
je sais quand mon portefeuille
est suffisamment diversifié
pour protéger le capital et assurer les gains.

À chaque nouveau prêt ma sécurité augmente.

Le seul vrai risque serait
un défaut global de toute l’économie :
lié à une crise majeure.
(Effondrement du système bancaire, guerre civile…)

Autant dire que si ça arrive
j’aurais d’autres problèmes
plus importants que
la rentabilité de mon épargne.

Et si le site venait à disparaître? 

Là encore peu de risque, on parle
d’une institution financière agréée
gérant plusieurs centaines
de millions d’euros de fonds
sur 4 pays d’Europe (bientôt 5),
avec des grands groupes comme actionnaires.

Le site se rémunère sur les frais des dossiers
et également via un fond 
qui finance 51% de tous les projets.

Il faudrait donc que tous les projets fassent défaut
pour que l’ensemble fasse défaut.

Il est évident que pour des montants importants
on cherchera tout de même à diversifier
à ce niveau-là également.

C’est pour cela que dans mon atelier,
je mentionne d’autres plateformes
en plus de celle que j’utilise.

Quels sont les avantages et inconvénients
par rapport à un bien locatif, 
si on peut être propriétaire loueur ?

Je verrais plusieurs avantages : 
– Ticket d’entrée ultra réduit           
– Grande diversification
(un appartement n’est pas réparti sur 4 pays)
– Gestion ultra minimale (juste quelques clics en ligne)           
– Placement plus liquide,
(le capital est prêté sur 24 à 72 mois.
et tu en récupères une part chaque mois
que tu peux retirer si tu le souhaite.
 – Pas de recherche de bien à faire,
les offres viennent à toi directement.

Inconvénients (selon ton rapport au patrimoine) :

 – Rien de physique, pour les personnes
qui aiment le tangible. 

 – Tu fais travailler l’argent mais
tu ne construit pas de patrimoine autre que
financier.

L’idéal serait de cumuler
le meilleur des deux monde.
Par exemple j’ai un garage que je loue.
Je réinvestis les bénéfices

en prêtant aux entreprises.
Je me construis ainsi un patrimoine
composé d’immobilier et d’un fond
de prêts aux entreprises.

Y’a t’il un pourcentage de réussite
des personnes utilisant cette formule ?
Gagnent-ils tous autour de 6%
ou certains sont ils à zéro et pourquoi ? 

Je n’ai pas trouvé de statistiques sur le sujet.

Le fond général du site que j’utilise affiche
une rentabilité moyenne de 5,79%
depuis son lancement en 2014.
J’ai une rentabilité plus élevée en
ne choisissant pas les prêts aux taux les plus bas
(eux s’obligent à financer 51% de chaque prêt).

Il est bien sûr possible d’être à zéro
ou de perdre du capital si
l’on prête à une seule entreprise
et que celle-ci fait un défaut
total ou partiel.

A t’on accès à la stratégie de ceux
qui gèrent le mieux leur plan ?
Peut-on s’inspirer ? Copier ?
Comment les dédommager ?
Peut-on copier sur ta stratégie par exemple ? 

Le site donne quelques bons éléments de base.
Je dévoile ma stratégie dans mon atelier.
Il est possible de suivre la même ou de l’adapter.

Mon objectif avec cet atelier est que tu puisses
commencer avec un montant réduit
(soit 500 euros de dépôt initial,
ou 50 euros par mois ou les deux)
et amortir le coup de l’atelier
dès la première année.
En construisant de façon sécurisée.

Tu  peux tester l’atelier gratuitement,
puisque je propose
une garantie 7 jours.
Satisfait ou remboursé.

Et tu peux commencer ici :

http://bit.ly/cree-ta-banque

et avoir tout en place dès ce soir.

Puis commencer à investir dès cette semaine.
(En général, il y a 5 propositions d’emprunt par semaine)

A demain,

Philippe

P.S. : Certains m’ont demandé pourquoi
je faisais une garantie sachant que des petits malins 
risquent d’en profiter pour avoir les infos sans payer. 
Réponse : ça fait partie du jeu
et je n’ai pas fait cet atelier pour eux. 
La garantie rassure les personnes sérieuses
à qui l’atelier s’adresse. 

Avec qui passes-tu ton temps ?

J’écris cette note dans un avion entre Amsterdam et Lyon.

Tu as sans doute déjà entendu ce proverbe.
« Qui se ressemblent, s’assemblent. »

Mais l’inverse est aussi vrai.
On finit par ressembler aux personnes
que l’on fréquente.

Jim Rohn, le formule ainsi :
« Tu es la moyenne des 5 personnes
avec qui tu passes le plus de temps. »

Passe ton temps avec des râleurs
et tu finiras par râler aussi.

Passe ton temps avec des gens optimistes
et tu auras un regard plus positif sur la vie.

Si tu cherches à progresser dans ton leadership
ou à réussir dans un nouveau projet.
La meilleure façon d’y arriver,
c’est de commencer par fréquenter des gens
qui te tirent dans ce sens.

Des personnes qui te challengent et t’inspirent,
qui sont plus avancées dans ce domaine
et pour lesquelles ce que tu vises semble normal.

En passant du temps avec elles,
tu vas développer le même mindset et la même
perspective et sans même t’en rendre compte
tu vas commencer à changer.

Si tu n’as pas ce genre de personnes
dans ton entourage.

Une solution c’est d’en suivre à distance :
– En lisant leurs livres
– En écoutant des podcasts
– En suivant des formations en ligne

Là encore l’inverse est aussi vrai.
Les contenus que tu consultes peuvent
te tirer à l’opposé de tes projets.

Si c’est le cas, alors c’est le moment

de diminuer ton temps de TV
et de réseaux sociaux.
Pour consulter des contenus
qui te poussent en avant.

Le but n’est pas de mépriser
les gens qui ne vont pas dans ton sens.
Mais simplement de t’assurer
que tu passes suffisamment de temps
avec des gens qui te poussent dans
la bonne direction.

Pour à ton tour inspirer d’autres.

À demain,

Philippe

Finances : Pourquoi le placement préféré des français est à bannir.

« Mets de côté, mon fils. »
C’est la leçon de finances
que j’ai reçu de mon père.

Un principe qui lui a permis
de devenir propriétaire,
avec un salaire d’ouvrier.

De financer mes études
et de m’aider à démarrer dans la vie.

Un exemple de patience
et de vie simple
avec une vision du long terme.

La stratégie de l’écureuil.
La préférée des classes moyennes,
basée sur le placement préféré
des français : le Livret A.

À l’époque, le livret A
était indexé sur l’inflation.
(La hausse des prix)

Ça permettait de garder
son argent disponible
tout en le faisant travailler avec
un taux d’intérêt supérieur à
la hausse du coût de la vie.

Chaque année la valeur de l’épargne
augmentait.

Ce n’était pas le meilleur placement
mais il était sans aucun risque.
Et fonctionnait.

Tu plaçais 100 euros à 3%.
L’inflation était à 2%.
Tu avais 103 euros à la fin de l’année
et tu avais gagné 1 euro
de pouvoir d’achat.

Simple, sécurisé et efficace.
Surtout quand on y connaît rien.
Et qu’on n’a pas accès
à des placements financiers plus rentables.

Mais les temps ont changé :
Le livret A n’est plus indexé sur l’inflation.
Et son taux de rendement est inférieur.

Imagine une inflation à 3%
et un taux de rendement à 2%.
Au bout d’un an tu as 102 euros
pour 100 euros placés.
Tu penses que tu as gagné 2 euros.
Mais en réalité tu as perdu 1 euro.
Car pour acheter quelque chose
qui valait 100 euros.
Il faut maintenant dépenser 103 euros
(inflation de 3%).

Le placement préféré des français
est devenu une machine à perdre.

Le taux du livret A en 2018 était de : 0,75%
et l’inflation de 1,6% (à fin décembre).

Mais le pire arrive, car elle pourrait bien
être plus élevée l’an prochain.

Et on ne sait pas comment
ça évoluera dans les années à venir.

Tu as donc le choix :

Ou bien dépenser
pendant que ton argent à encore de la valeur.
Ou bien trouver un autre placement.

Je continue à croire que
le conseil de de mon père est bon.
Même si je préfère dire à ma fille aînée :
« Ma fille, investit ! »

Elle va avoir 8 ans.
Et elle sait déjà comment faire.
Je l’encourage à travailler à l’école
mais je sais que l’école
ne lui apprendra pas à gérer son argent.

Alors avec ma femme on a décidé
de lui apprendre.

On lui donne plus d’argent de poche.
La moitié c’est pour acheter ses vêtements
(On a appelé ça dépenses nécessaires).

L’autre moitié elle apprend à répartir.
Une partie pour être généreuse,
une partie pour se faire plaisir,
une partie pour se faire plaisir plus tard.
Et une partie qu’elle investit.

Mais pas sur un livret A.

Cette dernière partie,
on le met sur un site internet
où on peut prêter à des entreprises.

C’est la banque personnelle de ma fille.
Elle a commencé avec 20 euros.

A 7 ans elle finance des restaurant
et des hôtels.

Ca lui rapporte entre 5 et 9%par an.
Je lui montre comment diversifier
pour bien gérer le risque et s’assurer
un rendement de 6%.

Parce que quitte à mettre de côté,
autant que ce soit pour gagner.

Si une petite fille de 7 ans peut le faire
n’importe qui peut y arriver.

Ce sont les nouvelles opportunités de notre temps.
Malheureusement trop peu les connaissent
et laissent dormir leur argent sur un livret A
qui les appauvrit d’année en année.

Si ça t’intéresse de faire comme ma fille,
je t’en parle dans mon atelier :
« Créer ta propre banque en moins d’une heure. »

J’explique tout ici :

http://bit.ly/cree-ta-banque

A demain,

Philippe

Vous les français vous ne savez pas profiter de la vie ! (Et si ce chypriote avait raison ?)

J’écris cette note depuis le Ouibus
qui m’emmène à l’aéroport de Lyon.
Avant de prendre un vol pour Amsterdam
où mon équipe anime une réunion de réflexion
avec 80 leaders européens.

La phrase résonne dans ma tête.
Alors que le 4×4 file à toute allure
sur une route de montagne.

L’homme au volant me raconte son histoire.
Sa naissance dans un petit village de chypre
au milieu des montagnes.

Ses études d’informaticien.
Son départ pour Lyon où
il a passé 20 ans.

Son retour au pays
comme guide touristique.

Je lui demande ce qu’il retient
de son parcours en France :

« Vous les français vous ne savez pas
profiter de la vie.
Vous vous enfermez dans des boulots
qui ne vous plaisent pas
pour gagner suffisamment d’argent
afin de faire ce que vous aimez…
5 semaines par an.
Dès votre retour, vous râlez
et comptez les jours jusqu’aux
prochaines vacances. »

Nous sommes en 2010.
Je travaille comme ingénieur d’affaires.

À Lyon justement,
dans l’informatique.
Je passe ma vie coincé entre
une moquette et un faux plafond.
Je sors pour rencontrer mes clients.

Le salaire est correct, les bonus intéressants.
Ca m’a permis de partir en vacances.
Pour 10 jours…

Je regarde ma femme à côté de moi.
Au fond je sais que cet homme à raison.

Il est en train de décrire ma vie.
Alors que je l’écoute je sens
mon estomac se nouer.
Dans 5 jours plus de montagnes
avec la mer au fond.

Ce sera à nouveau la moquette
et le faux plafond.

En attendant…
les prochaines vacances.

Le cycle infernal de la vie occidentale.
Où nous courrons sans fin,
tel un hamster dans sa roue.

L’homme continue :

« Ici, la vie est différente
nous gagnons moins d’argent.
Nous ne prenons quasiment jamais de vacances
mais d’une certaine façon les vacances c’est
tous les jours.

A chypre, on a peu de salariés et beaucoup de
petits entrepreneurs.

La plupart commencent leurs journées tôt,
finissent en début d’après midi.

Et après nous avons du temps pour vivre.
Pour être avec notre famille.
Et pour faire ce que nous aimons.

Au final nous vivons plus simplement,
mais mieux et plus heureux.

Nous apprécions davantage chaque jour
et nous aimons davantage notre travail. 
C’est pour ça que j’ai laissé
ma carrière en France pour revenir ici. »

De retour au travail entre la moquette
et le faux plafond. J’avais du temps
pour réfléchir.
Et réaliser à quel point cet homme avait raison.

Plus tard j’ai trouvé cette citation 
d’Anthony Robbins :

« La plupart des gens passent davantage
de temps à planifier leurs vacances
qu’à planifier leur vie »

Je me suis dit qu’il était temps
d’inverser la balance.

J’ai aussi trouvé cet exercice :

Planifier sa journée idéale.
Pas une journée de rêve sous les cocotiers.
Mais la journée que tu rêverais
si elle devait se reproduire
tous les jours de ta vie.

Il y a peu de chances qu’il y ait beaucoup
d’excentricités dedans.
Tes envies les plus folles te lasseraient
vite si tu devais les vivre tous les jours.

Ces envies sont souvent justes des moyens
d’échapper à une vie qui n’a plus de sens
au quotidien
.

Au lieu de courir pour espérer les satisfaire
On peut simplement redonner du sens
au quotidien.

Avoir une vie qui ressemble plus à
celle de mon guide chypriote.

Avec une journée qui mélange subtilement
travail, loisir, famille, spiritualité, relations, etc.
Des habitudes quotidiennes
qui donnent du sens à ce que l’ont fait.

Ca ne veut pas dire que
tes journées seront les mêmes.

Mais ça donnera une ossature pour
les journées « ordinaires ».

Si tu es salarié, ça peut être compliqué.
Même s’il est de plus en plus accepté
dans notre société
de moduler son temps de travail.

Comme ce collègue qui aimait
son métier de développeur
mais avait choisi de passer à 80%
pour vivre son rêve de faire du théâtre.

Même si ça impliquait
de ne plus avoir le dernier iPhone.

Si tu es indépendant ou entrepreneur,
tu as une plus grande liberté.

Malheureusement beaucoup se recréent
un quotidien pire que celui
qu’ils avaient en étant salarié.

Si c’est ton cas, c’est peut-être le moment
de revoir ta manière de travailler.
Et de repenser ta journée idéale.

Comme cet ami médecin
qui est passionné par son travail
mais ferme son cabinet à 16h00
pour prendre du temps avec sa famille.

Même si ses vacances seront moins belles
que celles de son collègue qui se tue au travail.

Pour ma part ça m’a conduit
à choisir un métier
que je n’avais plus envie de fuir
même si c’était bien plus risqué financièrement.

Je travaille souvent 6 jours plutôt que 5.
Mais ça me permet d’intégrer chaque jour
du temps pour lire et pour réfléchir.

Je me donne la liberté d’intégrer du repos
et de la détente dans mes journées.

Et il m’arrive souvent de travailler
pendant les vacances.

Par parce que je dois le faire.
Mais parce que j’en ai envie
et que ma vie n’est pas cloisonnée.
Mais plus équilibrée.

En tant que leader, ces questions sont vitales.
Car elles permettent de durer dans le temps.

Dans une vie qui a du sens au quotidien.

C’est bien de faire des plans pour tes clients
et pour tes équipes.

Mais la première chose qu’un leader
devrait faire.
C’est planifier sa vie.

A demain,

Philippe

P.S. : Mon atelier en ligne « créer ta banque
en moins d’une heure » est sorti hier.
Tu peux y accéder ici :
http://bit.ly/cree-ta-banque

Regarde : ton placement à 6% en créant ta propre banque !

Ca y est tout est prêt ! 

C’est aujourd’hui que sort mon atelier :
« Créer ta propre banque en moins d’une heure »

Si tu as déjà réservé ta place hier, 
tu as reçu ton accès par mail. 

Si jamais ce n’est pas le cas, tu peux me contacter
en répondant à ce mail. 

Sinon tu peux accéder à l’atelier en cliquant ici : 
http://bit.ly/cree-ta-banque

Derrière ce lien : 

-> La nouvelle façon de placer ton argent entre
5 et 9%
en prêtant à des PME. 

-> Comment t’associer à des investisseurs comme 
Allianz, matmut ou groupama
, qui ont déjà
préparé les dossiers pour toi. 

-> Le site français, légal et certifié
que j’utilise pour accéder au marché des emprunts
d’enteprises
et piloter ma banque.

-> Ma sratégie pour assurer un rendement de 6% 
tout en sécurisant ton capital

-> Comment démmarrer à partir de 50 euros
et construire ton propre fond d’investissement

pas après pas.

Ces possibilités étaient encore incaccessibles aux
particuliers il y a 5 ans.

Elles sont devenus possibles grâce aux évolutions
législatives qui permettent à des gens comme toi
et moi de financer l’économie.  

C’est le moment d’en profiter ! 

J’ai tourné l’atelier hier soir en filmant mon écran 
pour te montrer toute ma méthode. 

Ça dure 55 minutes et tu peux y accéder tout de suite 
pour paramétrer ta banque dès aujourd’hui. 

Tout est là : 

http://bit.ly/cree-ta-banque

Je te retrouve de l’autre côté,

Philippe

Crée ta propre banque en moins d’une heure !

Dans ma note d’hier je te parlais
de l’importance de diversifier tes revenus.

La bonne nouvelle c’est qu’il n’y a jamais eu
autant de possibilités pour le faire.

Par exemple, tu peux créer ta propre banque !

Si cela te surprend, c’est normal.
Ça m’a fait le même effet la première fois
où j’en ai entendu parler.

J’avais toujours entendu dire
que pour créer une banque.
Il fallait un million d’euros,
les bons diplômes et des tas de certifications.
Et c’est bien normal.
On ne laisse par n’importe qui jouer avec l’argent.

Mais les temps changent.

Et aujourd’hui, tu peux devenir banquier
avec seulement 50 euros,

sans diplômes et sans certifications.
Grâce à la puissance des technologies
et du collectif.

Tu as du en entendre parler.
Les entreprises ont de plus en plus de mal
à se financer, car les banques sont frileuses.
Elles préfèrent spéculer sur les marchés avec des robots
plutôt que de financer l’économie réelle.

Du coup les entreprises cherchent d’autres solutions.
Et certains ont pensé que la solution
ça pouvait être toi et moi.

À condition qu’on se mette ensemble
pour avoir suffisamment de fonds.
Et que l’on ait accès aux demandes des entreprises.

Comme le faisaient déjà les banques
quand elles s’associaient pour financer
des grands projets d’infrastructure.

Et c’est comme ça que l’an passé
je suis devenu banquier.
En moins d’une heure.

Le principe est tout simple
Je me connecte à un site
où j’ai accès à des demandes de financements
de la part d’entreprises.

Des experts de la finance ont déjà étudié
tous les dossiers

(en étant payés par les entreprises).

Ils étudient les projets
et le bilan financier des entreprises
Comme je le faisais quand j’étudiais
l’ingénierie financière à l’école des Mines.
Et ils me donnent la synthèse.

Si les demandes sont sûres
ils ont déjà financé 50% du besoin
à un taux entre 5 et 9% par an.

Et ils proposent aux particuliers
de financer le reste au même taux.


À deux conditions :
Commencer avec au moins 50 euros de capital.
Prêter au moins 20 euros par dossier.
Et c’est tout.

Et c’est comme ça que je suis devenu banquier.

Aujourd’hui, je finance l’économie.
En France, en Espagne, en Italie,
bientôt aux Pays-Bas et en Allemagne.

J’ai par exemple financé la construction
d’un restaurant Burger King à Milan,
des machines industrielles dans le sud de l’Espagne,
et la rénovation d’un hôtel en région parisienne.

Au global mes emprunteurs me rapportent plus de 6%
d’intérêts par an.

C’est tout de même mieux que le livret A ou le PEL
de mon banquier…
Et en plus je n’ai aucun frais.

(Comme chez ton banquier
c’est l’emprunteur qui paye les frais)

Si ça t’inspire et que toi aussi tu souhaites
devenir banquier.
J’ai créé un atelier vidéo qui sera mis en ligne demain.

Tu peux déjà réserver ta place ici :

http://bit.ly/cree-ta-banque

Derrière ce lien :

  • Toute la méthode pour
    créer ta propre banque en moins d’une heure
    à partir de 50 euros.
  • Le site français, légal et certifié
    que j’utilise pour piloter ma banque
  • Ma méthode pour sécuriser mon capital
    et m’assurer un rendement d’au moins 6% par an

Tout est là :

http://bit.ly/cree-ta-banque

A demain,

Philippe

Danger : Dépends-tu d’une seule source de revenus ?

J’ai appris la leçon quand j’avais 19 ans.
Pendant mes études d’ingénieur à l’école des Mines d’Alès.
Dans cette école, on envoie les élèves en équipe de 3
accomplir des missions de consulting dans les entreprises.

Une expérience incroyable qui permet
de voir des sujets stratégiques dès le début de sa carrière.

Pour ma première mission,
J’avais atterri dans une forge en Belgique.
On fabriquait des pièces pour
des compresseurs industriels.

Le premier jour le patron a réuni notre équipe.
Messieurs :
J’ai repris le site il y a un an.
La gestion était calamiteuse.
On est en train de tout restructurer.
Mais ce n’est pas notre plus gros problème.
Aujourd’hui 50% de notre chiffre d’affaires
est assuré par un seul client.
Auxquels s’ajoutent 20% qui viennent
d’une filiale de ce client.

Le contrat arrive à son terme dans un an et demi
On n’est pas sûr de le remporter à nouveau.
Si ça ne marche pas, on perd 70% du chiffre d’affaires
on ferme le site, et on supprime 40 emplois.

Cette PME faisait face au pire chiffre en Business :
Le chiffre 1.
1 seul client, une seule source de revenu.
La dépendance totale.

Le problème se retrouve
dans beaucoup de sociétés
qui n’ont qu’un seul client.

Des ONG qui dépendent d’une seule subvention
ou d’une seule fondation.

Des structures qui fonctionnent souvent très bien
jusqu’au jour où le chiffre 1 disparaît.
Et tout s’écroule.

Si tu es dans cette situation 
Tu as un besoin urgent de diversifier.

Pour assurer tes arrières.

Au-delà du plan professionnel,
est-ce que tu vis cette situation sur le plan personnel ?
Dépends-tu d’un seul salaire ?
Ou d’un seul client (si tu es indépendant) ?

Alors tu es en danger.

Le monde est de plus en plus incertain.
Tu ne peux plus te permettre de compter
seulement sur un CDI.
Ou un seul client.
Encore moins sur l’assurance chômage
ou le système de retraite.

Si tu dépends d’une seule source de revenu
C’est le moment de commencer
à diversifier.

Tu gagneras en sécurité.
Car tu auras de quoi te retourner
plus facilement en cas de coup dur.

Tu gagneras aussi en liberté.
En ayant possibilité de changer
de projet de vie plus facilement.
Avec tes arrières assurés.

Concrètement, plusieurs options
s’offrent à toi :
Immobilier (pierre ou papier),
location de biens,
prêt aux entreprises,
bourse,
business sur internet.

Au fil des ans j’ai testé différentes sources
de revenus.

Si le sujet t’intéresse je t’en parle ici :

http://bit.ly/diversifie-tes-revenus

À demain,

Philippe

Si tu arrives au bout de tes capacités voici la solution

Que tu sois entrepreneur, dirigeant, influenceur.
Tôt ou tard tu feras ce constat.
Tes capacités ne sont pas illimitées.

Si tu es très doué et dans plein de domaines,
tu risques de mettre plus de temps à t’en rendre compte
mais tôt ou tard il faudra l’admettre.

C’est ce que Maxwell appelle la loi du plafond.

Le piège pour beaucoup
c’est d’essayer de percer le plafond.
C’est à dire de chercher à accomplir

toujours plus individuellement :
 – en étant plus efficace
 – en travaillant davantage
 – en parlant mieux
 – en écrivain mieux
 – en acquérant de nouvelles compétences
Et ainsi de suite.

Parfois c’est la bonne solution
mais plus tu progresses

et plus il devient dur de progresser.

Si tu dois évaluer tes compétences de 0 à 10.
Il sera assez facile de passer du niveau 2 au niveau 5.
Par contre ce sera beaucoup plus dur
de passer du niveau 8 au niveau 10.

La bonne nouvelle
c’est qu’il y a une autre solution.

L’autre solution, c’est d’utiliser le leadership.
Commencer à emmener d’autres avec toi
pour t’aider à résoudre les problèmes
que tu ne peux pas résoudre seul.

Ça passe par de la délégation.
De la sous-traitance.
Du recrutement.
De l’influence.

Le but est que tu puisses t’appuyer
sur les compétences des autres
pour augmenter le résultat global
plutôt que ton résultat individuel.

Arrêter d’utiliser simplement
ton échelle de compétences
Mais commencer à travailler

sur ton échelle de leadership.

Tant que tu essaies de tout faire tout seul,
ton niveau de leadership est à 0.
On ne te demande pas d’atteindre le niveau 10.
Mais qu’est-ce que ça donnerait
si tu passais déjà au niveau 3 ou 5 ?
Par exemple en ayant une petite équipe avec toi.

Ça démultiplierait tes compétences individuelles.
Te laisserait plus de temps
pour les choses où tu es vraiment bon.
Et au final, tu irais beaucoup plus loin
qu’en comptant seulement
sur tes compétences individuelles

Ton résultat global est en réalité le produit
de tes compétences individuelles
et de ton leadership.

Ce qui fixe la hauteur du plafond c’est ton leadership. 

Par exemple, si tes compétences individuelles
atteignent un score de 8 dans ton domaine.
En augmentant ton leadership jusqu’au niveau 3
tu auras un résultat global de 24.

Si tu te focalises uniquement sur ta personne
en te disant que tu es le meilleur.
Tu pourrais bien avoir cette surprise :
Constater que quelqu’un de moins bon
mais qui a travaillé davantage sur son leadership
a de meilleurs résultats.

Par exemple, une personne dont la compétence
individuelle serait seulement de 5
mais avec un leadership « niveau 6 »
aurait un résultat global de 30.

Comme le montre ce schéma :

2 exemples pour bien comprendre :

Le patron de la chaîne de boulangeries Paul
n’est probablement pas le meilleur boulanger
de France.
Peut-être même qu’il ne sait pas faire du pain lui-même.
Mais, il a une compétence en leadership incroyable.
C’est ce qui explique qu’il y a au moins 5 boulangeries Paul,
rien que dans ma ville, sans doute plus.
Là où une chaine locale n’en compte que 3.
Et où les meilleurs boulangers n’ont qu’un seul magasin.

Il est aussi un influenceur incroyable.
Beaucoup de « boulangers » préfèreront
ouvrir une franchise Paul
plutôt que de tout réinventer.
Parce qu’ils bénéficient de l’expertise
de la chaine pour réussir.

Un autre exemple :
Au début des années 2010 le nombre d’infopreneurs
a commencé à exploser.
La plupart ont tout fait eux-mêmes :
Création de contenus, créations de produits, promotion.
Certains avec beaucoup de succès.

Et puis d’autres ont compris
qu’ils ne seraient jamais aussi fort.
Ou que ça leur prendrait des années
pour arriver à être bons.

Au lieu d’élever leurs compétences,
Ils ont choisi la voie du leadership.
En déléguant certaines taches (montage vidéo, publication…)
En créant seulement des produits et
en utilisant l’audience des autres pour les vendre,
grâce aux partenariats et à l’affiliation.
En embauchant des rédacteurs pour lancer
des nouvelles thématiques sans rien y connaître.

Bilan : beaucoup on dépassé les résultats
des infopreneurs de la première catégorie
en ayant de moins bonnes compétences
mais en étant de meilleurs leaders.

Si tu atteints tes limites,
plutôt que d’améliorer tes compétences,
c’est peut-être le moment
d’élever ton niveau de leadership.

À demain,

Philippe

Attention : si ton plan ne respecte pas ces 5 critères, tu cours à l’échec.

Que tu veuilles ouvrir un restaurant,
organiser une conférence, 
ou transformer ton organisation

Tu as besoin d’un plan d’actions
pour réussir à atteindre tes objectifs. 

D’après l’expert en leadership John Maxwell 
Tes plans sont assurés de fonctionner
s’ils respectent ces 5 critères : 

1 – Ils sont basés sur un chemin éprouvé. 

Est-ce que quelqu’un quelque part 
a déjà fait ce que tu veux faire ? 
As-tu pu obtenir la carte pour aller là où tu veux ? 
Passer par un chemin éprouvé, 
c’est être sûr que c’est possible. 

Ça ne veut pas dire que tu ne peux 
pas sortir des sentiers battus. 
Mais dans ce cas tu n’es pas sûr d’y arriver. 
Tu peux toujours jouer à Christophe Collomb
et chercher une nouvelle route pour les Indes. 
Mais le plus simple c’est souvent de prendre 
la même route que tout le monde

2 – Ils sont mis en oeuvre avec des étapes réalisables

Il ne suffit pas de savoir que le chemin est le bon.
Il te faut aussi définir chacune des étapes. 
Et être en mesure de les réaliser.
 
Y-a t’il un engrenage défectueux dans ton plan ? 
Un goulot d’étranglement ? 
Faut-il se donner plus de temps ? 
Prendre un détour pour choisir un chemin plus facile ?

3 – Ils sont créés avec d’autres

Les plans construits seuls sont dangereux. 
Tout leader a des angles morts. 

Une tendance à sous estimer le temps nécessaire
ou des difficultés pour accomplir une certaine tâche. 
Les meilleurs plans sont construits avec d’autres 
ou au moins présentés à d’autres.
 

Bien sûr en le faisant tu t’exposes à des critiques
mais mieux vaut être critiqué au début 
et arriver au bout du plan 

que de réfléchir tout seul 
pour se planter en cours de route. 

4 – Ils sont personnalisés en fonction de tes circonstances

Il ne suffit pas de copier le plan gagnant
d’un autre pour que ça fonctionne.
 
Le plan est-il adapté à tes contraintes de temps ? 
À ton budget ? 
À tes équipes ? 


5 – Ils prennent en compte ton développement personnel  

D’après Maxwell c’est la raison numéro 1
pour laquelle les plans échouent. 
Trop de leaders essaient de changer le monde,
sans vouloir se changer eux-mêmes.
 
Mais les vrais changements commencent par soi. 

Pour changer les autres et les situations. 
Il va sans doute falloir changer toi. 
Acquérir des compétences, évoluer dans ta pratique. 
Travailler sur ton caractère. 
Être le changement que tu veux voir dans le monde. 

Respecte ces 5 critères et tes plans réussiront. 

À coup sûr. 

À demain,

Philippe

P.S. : Je suis en train de préparer une formation en ligne
pour t’expliquer en détail comment tu peux réinventer
ta vie de leader. 
J’y donnerai notamment les critères que j’utilise pour évaluer 
chaque domaine de ma vie. 
Et la façon de planifier des objectifs
dans chaque domaine. 
Pour être prévenu dès qu’elle sera disponible, 
tu peux t’inscrire ici : 
http://bit.ly/reinventer-ta-vie

Le train et moi, une grande histoire d’amitié. (Inclus : les 5 raisons qui devraient t’encourager à le prendre beaucoup plus)

J’écris cette note dans un TGV entre Lyon et Aix-en-Provence
où j’ai un conseil d’administration ce mercredi.

Le train et moi c’est une longue histoire d’amitié.

J’ai commencé à le prendre quand j’étais ado.
Ma copine (qui est devenue ma femme,
mais ça c’est une autre histoire)
habitait à 130 kilomètres de chez moi.
Trop jeune pour  le permis,
il fallait bien que je trouve une solution.
C’est comme ça que j’ai rencontré mon ami le train.

J’ai eu la bonne idée de m’éloigner pour les études.
Alors on a pris des rendez-vous régulier.
Le train m’a fait découvrir un de ses amis :
le kiosque relay et son rayon guides pratiques.

Il fallait remplir nos trajets et les retards…
Alors j’ai commencé à lire des guides pratiques.
Grâce au train j’ai découvert les finances personnelles
avec Olivier Seban.
L’immobilier avec Elise Franck.
Et l’efficacité avec David Allen.
Pendant que mes collègues de promo
jouaient aux fous du volant.

Puis j’ai trouvé mon premier job d’ingénieur d’affaires
en plein de cœur de Lyon.

J’habitais à 60 bornes de là
Alors le train et moi on a pris un rendez-vous quotidien.
Deux fois par jour.
45 minutes, matin et soir.
Quelques fois mon ami le train m’a posé un lapin .
D’autres fois on est resté bloqués ensemble de longues heures.
(parce qu’un désespéré avait décidé d’en finir)
Mais malgré ces désagréments, le train
a plutôt continué à me partager ses bons plans.

À ma grande surprise il me permettait de rentrer  chez moi
avant mes collègues, qui habitaient beaucoup plus près
mais qui étaient coincés dans les bouchons.

Pendant qu’ils perdaient leur temps au volant.
Je pouvais travailler, lire, réfléchir ou… dormir.

Nos clients étaient des grandes entreprises
qui avaient souvent des bureaux près des gares.

Notre siège était à Paris.
Alors, j’ai commencé à multiplier les voyages en train.

Quand j’ai quitté ce job pour devenir cadre
dans une organisation chrétienne,
j’ai gardé l’habitude du train pour parcourir la France,
alors que plusieurs collègues prenaient la voiture.

J’ai du essayé quelques fois.
Je me souviens surtout de la peur des radars.
Ou de ce camion qui a failli m’écraser contre le rail de sécurité.

Aujourd’hui, je n’ai plus de voiture.
Il m’arrive d’en louer une de temps en temps.
Mais au maximum.
C’est le train.

Pour au moins 5 raisons :

1. En train je ne risque pas ma vie.

Bien sur il y a déjà eu des accidents dans l’histoire du train,
ou des risques terroriste.
Mais honnêtement, je ne connais personne
qui soit mort dans un train.
Ou qui en soit sorti estropié.
Je ne peux pas dire la même chose pour la voiture.
Et comme je ne suis pas une sardine,
je ne compte pas finir en conserve.

2. En train je n’ai pas le stress des radars.

Plus besoin de scruter le compteur ou le GPS.
Oublie le régulateur de vitesse ou le coyote.
Tu prends ton billet,
et ensuite l’état ne t’embête plus.

3. En train je ne perds pas mon temps

Parce qu’au final la plupart des trajets
ne sont pas plus longs qu’en voiture.
Et même quand ça arrive,
dans le train j’ai bossé, lu, dormi, mangé, réfléchi.

4. En train je peux me concentrer sur mon travail
qui n’est pas d’être un chauffeur

Ce n’est pas que je déteste conduire.
J’apprécie même volontiers un petit road trip
avec ma femme, en famille ou avec des amis.

Mais mon métier, c’est de parler en public,
de connecter des personnes, de prendre des décisions,
d’accompagner des leaders et de diriger
des organisations.

Ca implique de lire, de réfléchir, de créer des contenus,
de préparer des réunions.
Je ne peux pas le faire en conduisant.
Alors en bon leader, je délègue la conduite
pour me concentrer la dessus.

5. Le train est un environnement qui favorise la créativité.

Les études montrent que là où on est le plus créatif
Ce n’est pas dans un bureau.
Mais plutôt, dans un environnement ou on voit loin.
Rien de tel qu’un paysage.

Et un environnement où il y a du mouvement neutre
(qui nous demande pas de réaction de notre part
mais qui apparemment stimule nos neurones)
comme dans les cafés par exemple.
En train c’est le paysage qui défile
et il y a une activité de fond dans le wagon.

Pour moi le constat est simple, je suis beaucoup
plus productif dans un train que dans un bureau.

Si le bruit te gène, tu peux toujours
prendre des écouteurs réducteurs de bruit.

Ah oui, et puisque c’est dans l’air du temps

Une personne qui prend le TGV, c’est 50 fois moins de CO2
consommé qu’une personne seule dans une voiture.

Mon ami le train a aussi un cœur pour la planète.

Si comme moi tu voyages beaucoup.
Pense à tout ça pour ton prochain déplacement.

À demain,

Philippe