Tu vis à une époque incroyable.

Il n’y a jamais eu autant de possibilités dans l’histoire humaine.

Tu peux traverser le monde en quelques heures en prenant l’avion.
Tu communiques en visio avec n’importe qui dans le monde
sans bouger de chez toi.
Tu accèdes à toute la connaissance humaine en quelques clics.
Tu as dans ton supermarché plus de choses qu’un roi d’il y a 200 ans.

Les technologies te permettent d’automatiser toujours d’avantage.
Elles te permettent d’envoyer des mails à des milliers de personnes,
de gagner de l’argent même quand tu dors.

Pourtant les possibilités ne te rendent pas plus efficace.

Souvent le choix te paralyse.
Les options à ta disposition te distraient.
Les technologies te rendent accro à des choses sans intérêt.  
Et tu peux être dérangé n’importe quand.

Les possibilités n’ont jamais été aussi nombreuses.
Mais le passage à l’action n’a jamais été aussi difficile.

Tu es paralysé par le choix.
Distrait par les notifications.
Submergé par l’information.
Et tu perds du temps au lieu d’avancer.

C’est ce qu’on appelle la procrastination.

Remettre au lendemain l’essentiel.
Parce qu’il y a mieux, plus intéressant à faire.
Ou parce que le choix,
ou la peur de manquer autre chose te paralyse.

La procrastination nous épuise.
Elle crée de l’anxiété et de la culpabilité.

Elle s’infiltre de façon insidieuse.

Tu fais des taches sans impact pour te sentir occupé
au lieu de faire ce qui compte vraiment.

Tu choisis la tache de deuxième importance
au lieu de faire celle qui te tourne dans le cerveau
depuis des semaines.

Tu soupires comme un gamin
devant son bol de soupe.
Et plus le temps passe plus la soupe devient horrible.

Quand finalement la pression extérieure
te pousse à la boire,
tu réalises que c’était pas si dur.
Mais que de temps et d’énergie perdus…

Pourtant tu as une solution
Une méthode répugnante mais efficace.
C’est tout simplement
d’avaler le crapaud.

Vider le bol de soupe direct.
D’un trait.
Et être libéré.

L’illustration ne vient pas de moi
Mais de Bryan Tracy.
Un gourou de l’efficacité.

Imagine que tu as devant toi un crapaud.
Bien dégueu comme celui-là.

Et que tu dois l’avaler.

Et bien la meilleure chose, c’est de le faire là.
Tout de suite et d’être débarrassé.

Parce que tant qu’il sera là.
Ce crapaud continuera à pomper toute ton énergie.

Le crapaud c’est la chose la plus importante
que tu as à faire maintenant, tout de suite.

Celle aussi qui peut avoir le plus d’impact
sur ta vie et tes résultats maintenant.

La chose qui te fera culpabiliser si tu ne la fais pas.
Mais qui te donnera un mental de gagnant
dès que tu l’auras faite.

Première règle :

Ça ne sert à rien de regarder le crapaud longtemps en faisant la grimace.
À un moment ou à un autre il faudra l’avaler.
Alors fais-le tout de suite.

Deuxième règle :

Il se peut que tu aies deux crapauds à avaler aujourd’hui.

Comme ce gamin qui a eu à manger du foie et des épinards
au même repas.
Le pauvre…

Dans ce cas, commence par le pire
le plus gros et le plus répugnant.

Le deuxième, bien que laid
te paraîtra toujours plus facile à avaler après.

Troisième règle :

Fais-en une habitude gagnante.
Commence chaque journée
en te demandant :
C’est quoi le crapaud ?
Et avale-le.

Avant de sortir ton téléphone du mode avion
(parce que tu devrais le mettre en avion le soir)
Et avant de faire quoi ce que ce soit d’autre.

Si tu as un rituel du matin (ce qui est très bien).
Fais-le juste après.

Si tu as un travail qui t’empêche de faire ça en premier.
Fais-le tout de suite après.

Mais quoi qu’il arrive.
Avale le crapaud chaque jour.

Si tu cultives cette habitude.
Tu acquerras l’une des compétences les plus précieuses
de notre temps :

La capacité à passer à l’action.

Tu vas y prendre goût.
Parce que l’appétit vient en mangeant.

Tu accompliras tes objectifs.
Et tu enchainera avec des plus grands.

Derrière chaque grande réussite.
Il y a des efforts et des actions difficiles.
Ça commence par un crapaud.
Et ça commence maintenant.

Bon appétit,

Philippe

As-tu déjà vécu cette situation :

Tu as ouvert ton ordinateur
parce que tu voulais travailler sur un de tes projets,
ou un truc que tu devais absolument faire.

Au moment où l’écran s’est allumé
Tu as vu cette fenêtre Facebook
qui était resté ouverte.
Tu as commencé à scroller.
Tu as lu quelques statuts
avec des photos de chats.

Tu as regardé une vidéo
(un mec qui a failli se tuer, en voulant
passer le mur du son avec un canon)
Tu t’es dit que le monde était fou.

Tu as cliqué sur un lien vers un article.
Celui qui avait l’air intéressant parmi
tous ceux qui parlaient de gilets jaunes.

Faut bien chercher à comprendre un peu le monde
après tout.

Il parlait d’un truc que tu ne connaissais pas :

Le R.IC.

Alors tu es allé voir sur wikipedia.
(Comment ce truc marche en Suisse ou en Californie).
Tu t’es demandé ce que les politiciens en disaient.
Et tu as tapé « news.google.com » dans ton
navigateur.

En fait tu as même pas eu besoin d’autant d’efforts
Un simple « n »  suivi de la touche entrée a suffit.

C’est la magie des navigateurs

Ils retiennent tes habitudes et te facilitent la vie
Pour le meilleur… ou le pire.

Tu as parcouru les news
Ouvert 5 articles dans 5 nouveaux onglets.
Lu les articles.

Tu as tapé un « f » et validé
Pour revenir sur Facebook et continuer
à scroller.

Soudain tu as regardé l’heure.
Une demie heure était passée
Tu as du arrêter ta frénésie médiatique
car il y avait une autre obligation.

Ton projet n’avait pas bougé.

Si ça arrive une fois,
c’est peut-être pas si grave.
Mais si ça se reproduit .

Alors tu es mal.
Tes projets vont mourir.

Tu vas accumuler de la déception.
Tu vas avoir le sentiment d’être un looser.
Tu vas recommencer pour te changer les idées.

La culpabilité va augmenter.
Tu vas retourner te changer les idées.
Et tu vas finir par mourir comme tes projets.

Sans doute tu auras eu un déclic avant.
Alors tu vas essayer de te forcer à ne plus faire ça.
Tu vas fermer Facebook avant de baisser l’écran.
Pour qu’il ne soit plus là quand tu rouvres.

Peut-être qu’au lieu de perdre 4 heures par jour
en cumulé tu n’en perdras plus qu’une.
En te faisant violence.
Et parfois plus.

Des fois tu seras satisfait de tes résultats.
Et des fois tu retomberas dans tes schémas,
de déception et de culpabilité.

Tu vas songer à fermer tes comptes
et te dire que c’est pas possible
parce qu’ils ont quand même des intérêts
pour ton business.

Pour te tenir au courant.
Et pour garder certains contacts.

Et puis un jour tu auras peut-être un déclic.
Comme moi.

Tu te diras :
Je suis faible, c’est vrai.

Facebook, Google News et leur bande
sont trop puissants.
Trop forts pour moi.

Mais peut-être qu’il existe plus fort qu’eux.

J’ai cherché et j’ai fini par trouver :

Freedom

Je l’utilise depuis bientôt 10 ans.

Ca me permet en un clic de bloquer internet.
Pour une durée que j’ai choisi.
Ou alors de définir des listes planifiée.

Par exemple, je ne peux pas aller sur
Google News avant 4h de l’après midi.

Facebook est disponible aussi
une heure le matin au cas où j’en ai besoin
pour un usage professionnel.

Quand je me rend compte que j’utilise
un autre site trop souvent et pour un mauvais usage
Je laisse Freedom le mater pour moi.

Au cas où je manque de lucidité,
J’utilise une autre app :

Rescue Time.

Elle me donne un bilan régulier d’où
passe mon temps :
Sites web, réseaux sociaux, mails, traitement de texte,etc…
Tout est mesuré.

Essaie, tu risques d’être surpris.
Du temps et de l’attention que tu donnes
à des trucs sans intérêt
au lieu de bosser sur tes projets.

En 10 ans j’ai essayé plusieurs fois
d’enlever ces apps.
J’ai du me faire une raison.
Facebook et sa bande seront toujours
plus forts que moi.

Oui je suis faible.

Et comme je le sais,
je me confie dans des plus forts qu’eux.
Pour qu’ils m’aident à défendre
Ma liberté.

Celle de faire mes projets
au lieu de donner mon temps
à Facebook et sa bande.
Pour qu’ils gagnent de l’argent
avec les pubs qu’ils me montrent.

Si toi aussi tu es faible.
Si tes projets risques de mourir.
Et toi avec.

Alors voici une liste d’app :

https://www.spyzie.com/fr/block/internet-blocker.html

Elles peuvent sauver tes projets.
Et toi aussi.

Tu verras les deux dont je t’ai parlé.
Et d’autres qui te conviendront
peut-être mieux.

La plupart sont gratuites.
Et proposent aussi une version payante
pour aller plus loin.

À toi de faire des tests et de voir
ce qui te convient le mieux.

Je te souhaite une belle semaine.

Pleine de concentration pour ce qui est important.

Et qui compte vraiment pour toi.

À demain,

Philippe

J’écris cette note un samedi matin, mais toi tu la liras dimanche.
Cette note est plus personnelle. Elle est aussi plus longue.
 Je te parle de spiritualité et aussi de mon parcours.

J’ai hésité à te parler de ça aujourd’hui.
Je me suis demandé si je devais en parler sur Carnet de Leader.

J’y ai réfléchi ces trois derniers jours.

Je me suis demandé si ce serait bien compris.
Si ça ne serait pas too much.
Ou si ça te donnerait envie de fuir.
Et si finalement ce serait pas plus simple de pas parler de ça.

Et puis-je me suis dit que je n’avais pas le choix.
Et que c’était pas si grave.

Que je pouvais te parler de mes choix de vie
et d’opinions personnelles.
Même si tu es d’un avis différent et que tu fais d’autres choix.

Et que même je devais le faire.
Parce que ça influence qui je suis en tant que leader.
Ce dont je parle dans mes notes.
Et la façon dont j’en parle.

Que c’était pas si grave
Parce que demain on parlera d’autre chose.
Et que si ça te perturbes vraiment
Tu peux toujours te désinscrire.

Que je n’avais pas le choix
Parce que je pense qu’un bon leader
doit être authentique.
Vulnérable. Ne pas porter un masque.

Que de toute façon, je ne pouvais pas me cacher
Parce qu’il suffit de taper mon nom dans google
pour savoir.
Et un jour où l’autre tu le feras.

Ce matin, je voudrais te parler de spiritualité
C’est un sujet qui ne laisse pas indifférent.
Voir même qui est tabou dans notre société
Et qui génère parfois des tensions.

Surtout quand on en parle avec un autre mot :
Religion.

Pourtant la spiritualité est essentielle.
Elle s’intéresse aux choses qui vont plus loin que
l’immédiat de nos 5 sens.

Que l’on vive avec ou sans spiritualité,
Qu’on ait une spiritualité avec ou sans religion,
On se pose tous des questions qui touchent
à la spiritualité :

Que reste-t-il à la fin ?
À quoi est-ce que tout cela sert ?
Pour quoi est-ce que je vis ?

Les spiritualités (ou leur absence)
façonnent notre vision du monde.
Notre identité.
Et notre rapport aux autres.

Comme le dit le philosophe Luc Ferry dans son livre
« Apprendre à vivre »,
Les spiritualités nous aident à définir
ce qu’est le terrain de jeu (le monde),
quelles sont les règles du jeu (l’éthique)
et quel est le but du jeu (le salut).

Que tu sois athée, chrétien, agnostique,
musulman, bouddhiste californien, pastafariste ou
un mélange à ta sauce.
Ta vision de vie sera différente.

Ça influencera ton rapport aux autres.
Ton but dans la vie.
Et forcément ton leadership.

Et ça changera la réponse à cette question :
Pour quoi vis-tu ?

Pour ma part j’ai une spiritualité chrétienne
Plus précisément protestante et évangélique.
(Si ces mots t’intriguent wikipedia est ton ami ;-))

Cette spiritualité est le fruit de ma culture,
de mon arrière plan familial
et surtout de mon vécu personnel.

Elle s’est construite et confortée au travers
de mes expériences,
de mes recherches et de rencontres.
Que  ce soit en France en Europe
ou sur trois continents.

Cette spiritualité influence ma compréhension du monde,
mon éthique (basée, sur les dix commandements,
le sermon sur la montagne et l’amour du prochain.),
et mon but dans la vie.
Je ne vis pas simplement pour moi-même,
mais aussi pour Dieu
et au service des autres.

Ça influence mon rapport au travail,
Ma vision de la famille,
des loisirs et de l’argent.

Et ça m’a amené à un parcours de vie
plutôt original.

D’abord j’étais ingénieur d’affaires,
dans les services informatiques.
Tout en étant  impliqué dans plusieurs
associations chrétiennes.

Puis j’ai dis au revoir à mon patron
Pour devenir cadre pour deux organisations,
avec un statut de pasteur.

Ce qui ne m’a pas empêché de monter
en parallèle un web business avec ma femme.
Elle explique aux auteurs amateurs comment
écrire un roman sur devenir-ecrivain.com

En 2013, un leader plus âgé m’a proposé d’aller
avec lui dans une conférence internationale
de leaders chrétiens :
des hommes d’églises, mais aussi des entrepreneurs
et des leaders d’organisations.
Comme la plupart des français je ne parlais quasiment
pas anglais à ce moment-là. Et il a bien fallu s’y mettre.

J’ai développé des partenariats avec d’autres leaders.
Et c’est comme ça que j’ai commencé à voyager
davantage.
Jusqu’à visiter 24 pays.
Ou que j’ai organisé une conférence pour des leaders
de 150 nations.

Maintenant je vis à Saint-Etienne
avec ma femme et mes trois filles.
Je bosse depuis chez moi en faisant des réunions
à distance grâce au merveilleux Zoom Meeting.
Parfois je vais travailler dans les cafés
car mon bureau tient dans un sac à dos.

Et je voyage régulièrement (4 pays sur les 4 derniers mois
auxquels s’ajoutent les aller-retour à Paris
ou d’autres déplacements en France).
Je permets à des leaders de se connecter entre eux.
Pour développer leurs compétences et des partenariats.

Ma spiritualité donne un sens à ce que je vis
Elle me permet de travailler pour une cause plus grande.
Elle me donne un autre regard sur la vie.
Et une prise de recul quand surviennent des
circonstances difficiles.

Ma spiritualité me donne une vision particulière
du leadership, du monde du business et de l’argent.
Ce sont des catalyseurs incroyables
qui font ressortir la nature profonde des hommes.

Ils peuvent être les pires leviers d’oppression.
Et ils sont aussi les instruments les plus merveilleux
que l’homme possède pour faire une différence dans le monde
et créer de la valeur pour d’autres.

C’est de cela dont je te parle sur Carnet de Leader.
Et vu mon parcours, ça me semble difficile
(Voir même impossible) de t’en parler
sans être transparent sur ma spiritualité.

Parce qu’elle façonne profondément qui je suis.
Et pour quoi je vis.

Rassure-toi, je ne vais pas conclure cette note
En te demandant d’être comme moi.

Je t’encourage simplement à réfléchir à ces questions.

As-tu une spiritualité ou non ?
Et si oui, comment se manifeste-t-elle ?
Qu’est-ce que cela change dans ta manière d’aborder la vie ?
Dois-tu te fixer un objectif dans ce domaine ?
Pour quoi est-ce que tu vis ?

On peut ignorer ces questions.
Mais un jour ou l’autre elles nous rattrapent.

Parce que ce domaine fait partie de l’existence humaine.
Et comme les autres domaines il façonne
ton développement personnel et ton leadership.

Ça fait partie de la roue de ta vie.

Et comme je te le disais dans ma note d’hier.
Tu ne peux pas te permettre
d’avancer avec une roue carrée.

À demain,

Philippe

Imagine un instant.

Si tu devais rouler avec une voiture comme celle-ci :

Oui c’est compliqué.

Et c’est pour ça qu’habituellement…
Les roues des voitures sont rondes.

Même si dans la pratique ça peut fonctionner quand même

Comme on le voit dans cette vidéo :

Il faut juste aimer les chocs.

Aller assez vite pour que les secousses diminuent.

Et se préparer à être bloqué net dès qu’on freine.

Soyons clairs.

À part pour une expérience, tu ne voudrais pas rouler
au quotidien dans une voiture aux roues carré.

Même des roues presque rondes ça ne te ferait pas envie.

Pour que ça marche il faut que les roues soient rondes
et équilibrées.

Pourquoi est-ce que je te raconte tout ça ?

Parce que ta vie ressemble aussi à une roue.
Au lieu d’avoir des rayons tu as différents domaines.

Et pour que ça fonctionne, il faut que ce soit rond
et équilibré.

Comme ceci :

C’est le problème que rencontrent beaucoup de leaders
ou d’entrepreneurs.

Beaucoup trop.  

Leur vie est tellement fixée sur leur carrière qu’elle ressemble
Plutôt à la roue en bleu ici.
Si on peut encore appeler ça une roue.

Si tu es dans ce cas.
Ce n’est probablement pas ce que tu souhaitais au début.
Peut-être que c’est temporaire à cause d’un projet particulier.
Ou parce que tu prépares un examen qui te demande
toute ton attention.

Mais si c’est fait pour durer.
Alors tu as un vrai problème.

Soyons honnête.
Voudrais-tu d’une roue comme ça pour ta voiture ?
Alors pourquoi l’acceptes-tu pour ta vie ?

Concrètement tu as deux options.

Ou bien tu continues comme ça
et ça va finir pas casser pour de bon. Tôt ou tard.

Parce que les lois de la physique sont plus fortes
que ta roue carrée.

Ou bien tu décides que c’est le moment de changer.
Et de reprendre le leadership sur ta vie.

Et j’aime autant te le dire.
Ça va pas être une partie de plaisir.
Parce que c’est dur de regarder sa vie
et de voir la vérité en face.

De réaliser qu’on pensait avoir du succès
parce qu’on est au top dans un domaine
ou qu’on a un compte en banque rempli
mais qu’en réalité on fonce dans le mur.

C’est encore plus dur d’oser imaginer
quelque chose de différent.
Et de passer à l’action.

C’est dur.
Mais ça en vaut la peine.

Et il n’y a rien de tel que le début d’année
pour se poser et réfléchir à tout ça.

Voilà ce que tu peux faire pour commencer :
 – Note chaque domaine de ta roue de la vie de 0 à 5.
 – Pour chaque domaine réfléchis où tu voudrais être.
 – Puis transforme ça en objectifs et passe à l’action.

Si ça t’aide, tu peux relire les dernières notes
où je t’expliquais comment fixer tes objectifs.

Bonne réflexion et à demain,

Philippe

P.S. : Je suis en train de préparer une formation
en ligne pour t’expliquer en détail comment tu peux repenser
ta vie de leader avec ces principes.
J’y donnerai notamment les critères que j’utilise pour évaluer
chaque domaine de ma vie.
Pour être prévenu dès qu’elle sera disponible,
tu peux t’inscrire ici :
http://bit.ly/reinventer-ta-vie

C’est terrifiant.

Voilà la première chose que j’ai pensé quand j’ai lu ça.

Moins d’un tiers des leaders arrivent à durer.

C’est le constat qu’à fait le professeur J. Robert Clinton
de l’université Fuller aux Etats-Unis,
en étudiant la vie des grands leaders.

Certains échouent à cause de scandales éthiques ou de
leur malhonnêteté.

D’autres parce qu’ils n’arrivent plus à voir les opportunités.
Ou parce qu’ils ne proposent plus rien de pertinent.

Il y a aussi ceux qui décrochent parce qu’ils se croient arrivés.

Certains qui n’ont plus l’énergie pour passer à l’action.

Et puis ceux dont le caractère est insupportable et qu’on finit
par mettre sur la touche.

Les raisons derrière l’échec sont multiples mais
tous ces leaders ont un point commun.

A un moment, ils ont arrêté de travailler sur eux-mêmes.

Que tu sois à la tête d’une organisation,
que tu veuilles monter une TPE,
ou que tu rêves d’écrire un roman à succès.

La seule chose qui peut te faire durer dans le temps
et te permettre d’influencer les autres.
C’est ton développement personnel.

Ce que Clinton appelle « garder une posture d’étudiant ».

Tout le temps.
Et dans tous les domaines.
Reconnaître tes failles.
Les accepter.
Et commencer à changer.

Si tu ne sais pas par où commencer, voici une liste de
domaines à explorer :
 – Ton caractère
 – Ta santé
 – Ta famille
 – Ton travail
 – Tes finances
 – Ta vie sociale
 – Tes loisirs
 – Ta spiritualité

Comment évalues-tu ta vie dans ces différents domaines ?

Dois-tu changer quelque chose ?

Qu’est-ce que tu dois apprendre ?

As-tu un objectif pour chacun de ces domaines ?

Si tu devais changer une chose aujourd’hui, laquelle ce serait ?

Comme le dit John Maxwell :
« If you want a better life, you have to be a better you ».

Si tu veux une vie meilleure, tu dois être un meilleur toi.

C’est la seule solution pour durer dans le temps.
Et donner au monde la valeur que tu as à offrir.

Et c’est peut-être la meilleure résolution
que tu puisses prendre cette année.

Parce que de celle-ci dépendent toutes les autres.

À quoi ressemblerait ta vie dans un an
si chaque jour tu te posais la question :

Que dois-je changer aujourd’hui ?

Et si tu commençais à agir en conséquence.

A demain,

Philippe

P.S : J’ai créé une fiche pour t’aider à définir tes résolutions
avec la méthode Objectifs SMART.
Si ça t’intéresse, je te demande juste un petit coup de pouce.
Va sur la page Facebook Carnet de Leader. Clique sur j’aime.
Puis envoie moi un message privé (bouton bleu en haut à droite).
Je t’envoie la fiche par retour.
Voici un aperçu de la fiche pour te donner une idée :

C’était il y a 15 ans.

J’étais en terminale S.

À cette époque j’aimais tellement les maths
que j’en avais fait ma spécialité pour le bac.
Et je rêvais d’aller en Maths Sup.

Ce jour là, la prof nous a présenté
une nouvelle technique de démonstration logique.
Une technique au nom barbare.
Ca s’appelait « raisonnement par récurrence ».

Si ça te donne envie de vomir dès le matin,
accroche toi encore 2 minutes.
Derrière ce nom barbare se cache un principe tout bête,
Un principe vital pour tes objectifs.

Imagine : tu as devant toi une échelle.
Une échelle à 15 247 824 barreaux.
Il y en a tellement
que rien que pour lire le nombre il faut s’accrocher.
Alors monter l’échelle,
autant dire que ça parait impossible.

Mais c’est justement ça la question :
Est-ce possible d’arriver en haut de l’échelle ?

Et c’est là où notre mathématicien en herbe
apprends à voir le problème d’une autre façon.
En simplement 2 questions :
         – Es-tu capable de te hisser sur le premier barreau ?
         – Es-tu capable de passer d’un barreau à un autre ?

Tout à coup, le problème devient beaucoup plus simple.

Il n’est plus question de savoir monter la plus grande échelle de l’univers.
Il suffit de savoir monter sur le premier barreau
et de savoir passer au barreau suivant.

Si tu parviens à prouver ces deux étapes simples,
Le problème est résolu.

Peu importe que l’échelle ait 5 barreaux
ou 15 247 824 barreaux.
Si tu maitrises ces deux étapes, tu arriveras en haut quoi qu’il arrive…
… par récurrence.
(c’est à dire en répétant un processus simple).

Oublions ma prof de maths.
Et revenons à tes objectifs.

Quelle est ton échelle cette année ?

S’agit-il de perdre du poids ?
D’écrire un roman ?
De courir un marathon ?
De sortir de tes dettes ?
Ou encore de créer ton entreprise ?

L’échelle te parait sans doute grande. Trop grande.

Mais la bonne nouvelle c’est que
tu peux regarder le problème autrement.

Il te suffit de savoir faire deux choses :
         – Mettre le pied sur le premier barreau.
         – Savoir passer au barreau suivant.

Le premier barreau c’est savoir passer à l’action
Tout de suite et avec un petit pas

Tu veux courir un marathon ? Mets tes baskets.
Si c’est déjà le soir : pose tes baskets au pied de ton lit
ou sur la table du petit déjeuner.

Le barreau suivant c’est développer une habitude gagnante
Mets tes baskets tous les matins en te levant, même s’il pleut.

Parce que finalement c’est ça le plus dur, c’est ça le vrai objectif.
Une fois que tu auras les baskets aux pieds
et que tu auras passé la porte
tout sera plus facile.

Tu vas courir. Chaque jour.
Et à la fin tu auras ton marathon.

Si tu veux écrire un roman :
oublie l’échelle, regarde le barreau.

Es-tu capable d’écrire 500 mots ?

Alors mets ton stylo et ton carnet Moleskine (ou ton ordinateur)
sur la table avant de te coucher.
Et écris 500 mots chaque matin.
Si tu ne peux pas le matin, mets tout sur la table en partant de la maison
Et écris 500 mots directement en rentrant.

En 100 jours tu auras 50 000 mots. Et tu auras ton roman.
Tu pourras toujours l’améliorer après
et recommencer.

Parce que ton nouveau barreau ce ne sera plus 500 mots
mais un roman entier.

Bien sûr, si tu veux créer une entreprise,
ton action à faire chaque jour ne sera pas la même.

Mais le principe est identique.
Par exemple :
– Quelle est la première action que tu dois faire ?
(une action de moins de 15 minutes)
     Ce peut être un appel téléphonique pour prendre un rendez-vous,
     un mail à envoyer, une info à chercher, réserver un nom de domaine…
– Chaque soir : écrit l’action de 15 minutes que tu feras le lendemain
(c’est ça ton barreau).

Souvent, tu feras plus qu’une action de 15 minutes.
Mais quoi qu’il arrive tu auras au moins fait ça et ton rêve avancera.

Un dernier conseil pour la route :

Si tu es face à un objectif complexe
comme « créer une entreprise »,
le mieux que tu puisses faire
c’est te fixer un objectif SMART pour chaque jour.

Parce que chaque objectif peut être décomposé en sous-objectif.

Pour t’aider je t’ai préparé une fiche détaillée
qui permet de transformer tes résolutions en objectif SMART.

Pour la recevoir c’est tout simple :
Va sur la page Facebook Carnet de Leader :
https://www.facebook.com/carnetdeleader/

Clique sur J’aime.
Puis envoie moi un message privé sur la page.
(Bouton bleu en haut à droite)

Je t’enverrai le lien de téléchargement.

Il est 7h37. Et je viens de finir cette note.
C’était mon barreau du jour.

Et toi, que vas tu faire aujourd’hui pour monter ton échelle ?

À demain,

Philippe

C’est bien beau de prendre des résolutions. 
Mais si tu ne les tiens pas ça n’a pas grand intérêt. 

Ca sert juste à te décourager. 
À te retrouver au bout d’une semaine ou d’un mois devant ton miroir. 
Et à te dire : j’ai encore échoué. 
Tu te retrouves avec un sentiment d’échec. 
Qui très vite fini en apitoiement : c’est pas fait pour moi…
Je n’y arriverai jamais…
Je suis un looser… 

D’après le professeur Wiseman de l’université d’Hertfordshire
c’est ce qui arrive à 88% des gens. 
Chez certains ça fini même en dépression… 

C’est pour cela que de plus en plus de gens ne prennent plus qu’une résolution : 
Ne pas faire de résolutions. 

Ça a le mérite d’être honnête mais c’est pas comme ça que tu vas avancer dans la vie. 

Le mieux avec les résolutions, c’est d’en prendre et de les tenir. 
Parce que c’est comme ça que tu avances. 
Comme ça que tu deviens un leader dans ta vie. 

Et la bonne nouvelle c’est que tu peux le faire. 
Tu peux te tracer un cap et avancer dans cette direction. 
Accomplir ce que tu rêves pour cette année. 

À condition… de respecter ces 5 critères. 
Ceux qui font que ta résolution devient un objectif. 

J’ai testé, c’est redoutable.  

La méthode s’appelle Objectif SMART.  
Un mot anglais qui veut dire « intelligent », « futé » ou « malin ». 

Et c’est aussi un acronyme parfait pour tes résolutions.  

 1- Tes résolutions doivent être Spécifiques

« Je souhaite maigrir » ou « je veux créer mon entreprise »,
ce n’est pas des résolutions.  
Au mieux c’est des intentions… et ça t’amène pas loin.  

Une résolution spécifique ce serait : 
        – Je veux perdre 15 kilos et rentrer dans du 40.  
     – Je souhaite créer mon entreprise de livraison de courses à domicile,  
         pour les personnes âgées dans la région de Marseille.  

 2- Tes résolutions doivent être Mesurables

Ensuite tes résolutions doivent être mesurables. 
Il faut des indicateurs et des chiffres.  
Pour répondre à la question : Comment saurai-je que j’ai réussi ?  

Pour le poids ce point est assez facile, si c’est spécifique normalement c’est mesurable.  
Moins 15 kilos sur la balance / taille 40.  
Pour l’entreprise ça pourrait te donner ça :  
« Je saurais que j’ai réussi, quand mon entreprise emploiera un livreur,
une secrétaire et me permettra d’avoir un salaire de 2000 € euros par mois
grâce à ses 50 clients quotidiens. »  

 3- Tes résolutions doivent être Atteignables

Est-ce que c’est possible ? Je veux dire en général.  
Est-ce que quelqu’un d’autre l’a déjà fait ?  
Pour le poids ça semble jouable.  
Pour l’entreprise, si tu souhaites livrer les courses par hélicoptère,  
c’est certes innovant mais probablement peu atteignable
dans la région marseillaise si tu veux être rentable.  

4- Tes résolutions doivent être Réalistes

Atteignable, ça veut dire : Est-ce que c’est possible ?  
Réaliste, c’est : Est-ce que je suis en mesure de le faire ?  

Pour le poids, est-ce que c’est réaliste de viser 15 kilos tout de suite
même si c’est possible.  
Pourquoi pas commencer par 5 ?  

Comme ça, si tu réussis tu es encouragé.
Et tu peux te fixer une nouvelle résolution (sans attendre le premier janvier). 

Pour l’entreprise, si tu n’as pas plus de 2 heures par jour à y consacrer,  
il y a de grandes chances que ce ne soit pas réaliste.  
Trouve une autre idée plus simple.  

 5- Tes résolutions doivent être Temporellement définies

C’est mon critère préféré. Le seul qui peut vraiment te faire passer à l’action.  
Mettre une date.  

Si tu veux réussir, il te faut une limite de temps.  
Par exemple : D’ici septembre, j’aurai perdu 15kg et je rentrerai dans du 40.  
Dans un an, mon entreprise de livraison de courses me permettra
de gagner 2000 euros par mois.  

Dès que tu as une date, tu es obligé de passer à l’action  
et tu sais direct si ton objectif est atteint.  

Deux dernières choses :  

– Plus la date est courte, plus ça te pousse à l’action. 
Je te conseille donc de viser des dates courtes,
avec des objectifs plus petits et de recommencer. 
Par exemple : Perdre 3 kilos dans un mois.
À chaque fois que tu réussis tu cumules le sentiment de victoire.
C’est le meilleur moyen d’arriver au bout.

– Mieux vaut atteindre la Lune en visant Mars que de rester sur Terre. 
Autrement dit peu importe si tu n’atteints pas les critères à la date définie,
le but c’est que tu aies un cap et que tu passes à l’action.
N’ai donc pas peur de la date. 
Fixe-la et démarre. 
À la fin tu feras le bilan et tu en tireras les conséquences
pour mieux recommencer. Encore et encore.

Si ça t’intéresse j’ai préparé une fiche PDF, avec un tableau à compléter
pour t’aider à définir tes résolutions avec cette méthode.  

Pour la recevoir, je te demande juste un petit service. Au choix :  

– Partage cette note sur Facebook avec le bouton ci-dessous
en mentionnant @carnetdeleader dans ton mot, pour que je sois notifié.
Je te renverrai le lien de téléchargement via Facebook.

– Partage cette note par email à une ou plusieurs personnes
et met l’adresse philippe@carnetdeleader.com en copie cachée (cci),
je t’enverrai la fiche par retour de mail. 

À demain, 

Philippe

J’écris cette note un premier janvier depuis mon salon,
avec un air de jazz dans les oreilles.

Les premiers janvier c’est bizarre…
Il y a ceux qui prennent des résolutions et des grandes décisions
pour leur vie.
Et ceux qui s’en fichent royalement…

Ceux qui en prennent et qui les laisseront tomber avant la fin du mois.
Et ceux qui préfèrent les prendre un autre jour
et qui pourtant les tiendront.

Je ne sais pas de quel côté tu te situes.

Personnellement, j’aime prendre des décisions
et je n’aime pas attendre la nouvelle année pour le faire.
Alors qu’on peut changer de vie chaque jour.

Malgré tout le nouvel an reste un moment idéal.
Pour au moins 3 raisons :

1. C’est une période ou tu peux prendre du recul.

Entre Noël et jour de l’an. Et même quelques jours après…
C’est le seul moment de l’année où tu peux vraiment vraiment couper.

Personne ne s’inquiète que tu ne répondes pas aux mails.
Personne ne se soucie vraiment de ce que tu fais.

Et même si c’est le cas. Tu peux toujours dire, désolé c’était les fêtes.
Alors profites-en pour réfléchir à ta vie et prendre de vraies décisions.

2. C’est le moment où tout le monde parle résolutions

Même si la plupart ne les tiendront pas
ou même si elles n’ont pas vraiment de sens.
Cette dynamique « c’est quoi ta résolution ? »,
ça te donne l’occasion de parler de tes plans.

En parler c’est prendre un engagement moral.
Et ça te donne beaucoup plus de chances de réussir.

3. C’est une date simple et symbolique

Si tu prends une décision le premier janvier.
Tu t’en rappelleras toute l’année.
Chaque fois que tu verras 2019.
Ça marque un avant et un après.

C’est plus simplement le jour
mais aussi l’année qui restera associée à ta réussite… ou ton échec.
C’est aussi une date qui rend la mesure facile.
Où en sera ton projet dans un mois ? 6 mois ? Un an ?
C’est à dire le premier février, le premier juillet
et le premier janvier 2020.

Et tous les bons leaders te le diront. On n’améliore que ce qu’on mesure.
Une date facile, c’est des jalons faciles, des deadlines facile
et autant de chances de réussir.

C’est pour ça que je ne t’ai pas écrit le 27 décembre mais que j’ai attendu
le premier janvier.
C’est mon nouveau projet pour cette année ça s’appelle Carnet de Leader (carnetdeleader.com).

Ce n’est pas un site, ni un blog, même si ça y ressemble.
C’est juste un carnet de notes. Mes notes.

Le principe est simple, chaque jour, je publie une nouvelle note.
Une expérience, un conseil, une astuce ou idée qui te permet de devenir
leader de ta vie.
On parlera leadership, développement personnel, création de business,
investissement, voyage, communication et bien d’autres choses.

Au fil des jours, je te raconterai notamment :
– Ce que j’ai découvert en voyageant dans 24 pays,
du Tchad aux Etats-Unis en passant par le Maroc et l’Indonésie.

– Mes leçons apprises en tant qu’ingénieur d’affaires
gérant des projets à plus d’un million d’euros.

– Comment j’ai créé avec ma femme un business en ligne
qui génère 1000 à 5000 euros par mois de chiffre d’affaire
en y passant moins de 2 heures par jour.

– Pourquoi je crois au minimalisme et que je vis dans un petit appartement
et sans voiture même si j’ai trois enfants.

– Mes techniques de gestion du temps pour diriger plusieurs organisations,
tout en développant des projets personnels et ma vie de famille.

– Comment je me suis débrouillé pour apprendre l’Anglais en autodidacte,
ce qui me permet aujourd’hui d’organiser des conférences
avec des leaders de 150 pays.

– Quelles sont mes 5 sources de revenus
et comment je place mon argent à plus de 6% sans risque
au lieu de le laisser dormir sur un livret A.

– Les raisons pour lesquelles je pense que la spiritualité est essentielle
pour un leader et comment je la vis.

Ces notes je les publie sur carnetdeleader.com et je les envoie à mes contacts
(dont tu fais partie si tu reçois cette note par mail.
Si tu la lis sur le site ou un réseau social tu as un lien en bas
pour rejoindre mon répertoire).

Je préfère te prévenir, certaines notes seront très courtes.
La plupart n’auront pas d’images, sauf si c’est vraiment utile.

Parce que je ne fais pas ça pour faire des bons articles.
Et que je préfère passer du temps avec mes filles
que de chercher des images pour faire joli.

Par contre ce que je te partagerai dans chaque note vaut de l’or.
Surtout si tu le mets en pratique.
Et l’or n’a pas besoin d’emballage pour être de l’or.
Ces notes c’est tout simplement celles que j’aurai aimé recevoir.
Il y a 10 ou 15 ans,
quand j’ai fait mes premiers pas de leader.
Et ma résolution pour cette année c’est de les offrir aux autres.

Et toi quel est ton projet phare pour l’année à venir ?
N’hésite pas à me le partager en répondant à ce mail.

Je t’adresse mes meilleurs voeux de réussite pour cette nouvelle année.

A demain pour une nouvelle note,

Philippe