À la base un analphabète c’est quelqu’un
qui ne sait pas lire et écrire.
Mais dans un monde qui change,
d’autres critères deviennent tout autant limitant.
Le premier critère c’est la technologie.
Il y a peu de chances que ça te concerne
aujourd’hui si tu lis cet article.
Mais la technologie devient un facteur
de plus en plus discriminant.
Et ça devrait s’accélérer encore
avec la dématérialisation
et l’automatisation.
Certaines études estiment que 85%
des métiers de 2030 n’existent pas encore !
C’est sans doute exagéré.
Mais c’est une réalité qu’il va falloir
prendre en compte.
La révolution technologique n’est qu’à ses débuts.
Beaucoup pensent la maitriser mais
ils pourraient se retrouver aussi perdus
que leurs grands parents dans
les années à venir.
Ça va faire mal.
Le deuxième critère c’est l’anglais.
Et il y a beaucoup plus de chances
que ça te concerne dès aujourd’hui.
Dans un monde mondialisé.
L’anglais s’impose.
Pour voyager,
pour échanger avec les étrangers.
Pour s’impliquer dans de nombreux
secteurs économiques.
La France a résisté pendant longtemps.
Mais il faut bien se rendre à l’évidence.
Même si le français va durer.
De nombreux mots anglais vont rentrer
dans l’usage courant.
Et de moins en moins de choses
vont être traduites.
Surtout dans les secteurs économiques
et technologiques.
Maîtriser l’anglais c’est avoir un champ
d’action plus large.
Et avoir plusieurs années d’avance.
Regarde le temps qu’il faut pour
qu’un bon livre en anglais
soit traduit en français.
Et imagine l’avance que ça te donnerait
si tu accédais à ces connaissances
ou ces savoir-faire avant les autres.
La bonne nouvelle c’est qu’il n’a
jamais été aussi facile de s’y mettre.
Même si on était mauvais en anglais à l’école.
(Je sais de quoi je parle 🙂 )
Si c’est quelque chose qui t’intéresse,
j’ai un ami qui est spécialiste du domaine
et qui organise une conférence gratuite
demain soir.
J’ai moi même bénéficié de son coaching
pour intervenir en anglais dans
une conférence internationale.
Il est vraiment très fort.
Tu peux voir ce qu’il propose ici :
À demain,
Philippe